[Japon] Vendredi 7 juillet 2017

[Japon] Vendredi 7 juillet 2017

J2.

Visite de deux grands parcs situés en plein milieu de Tokyo. C’est autre chose que nos petits squares parisiens. 
J’ai encore un peu de mal avec le décalage horaire (là, il est 2h30 du matin, et je viens de me réveiller), mais en dehors de ça, tout va bien.

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Shinjuku Gyoen, jardin traditionnel japonais.
Le plus haut torii du Japon, taillé dans un cèdre vieux de 1500 ans.
Le plus haut torii du Japon, taillé dans un cèdre vieux de 1500 ans.
Le jardin aux iris, qui était sans doute beaucoup plus joli il y a deux semaines, quand les fleurs en question n'avaient pas encore toutes été coupées.
Le jardin aux iris, qui était sans doute beaucoup plus joli il y a deux semaines, quand les fleurs en question n’avaient pas encore toutes été coupées.
Repas du soir dans un kombini. Ça a été toute une aventure que de savoir à quoi était fourré l'onigiri (le triangle de riz recouvert d'algue en bas à droite, pardon pour les initiés, mais je préfère traduire pour l'ancienne génération qui me lit). J'ai dû apprendre un peu de grammaire japonaise pour me renseigner, puisqu'aucun mot anglais ne figurait sur l'étiquette. Une dame m'a donc expliqué hier que ma boulette de riz ne contenait pas de viande, mais du "tsukemono", ce qui ne m'avancait pas beaucoup plus que vous. J'ai alors mobilisé les talents de goûteur de V., et il s'avère que mon onigiri renfermait une espèce de plante verte salée et fermentée qui se marie très bien avec la fraîcheur du riz. Cet aliment me sert désormais de petit déjeuner quotidien. La nature des sauces dans lesquelles j'ai plongé mes soba demeure un mystère. J'ai tout mélangé, y compris un petit sachet de ce qui ressemblait à s'y méprendre à de l'eau. J'ai assez souvent peur de manger les rince-doigts, ici. Le banana bread avait une texture fort surprenante d'éponge et je ne m'attendais pas à trouver autant d'air dans un si petit gâteau, mais le goût n'était pas désagréable.
Repas du soir dans un kombini. Ça a été toute une aventure que de savoir à quoi était fourré l’onigiri (le triangle de riz recouvert d’algue en bas à droite, pardon pour les initiés, mais je préfère traduire pour l’ancienne génération qui me lit). J’ai dû apprendre un peu de grammaire japonaise pour me renseigner, puisqu’aucun mot anglais ne figurait sur l’étiquette. Une dame m’a donc expliqué hier que ma boulette de riz ne contenait pas de viande, mais du « tsukemono », ce qui ne m’avancait pas beaucoup plus que vous. J’ai alors mobilisé les talents de goûteur de V., et il s’avère que mon onigiri renfermait une espèce de plante verte salée et fermentée qui se marie très bien avec la fraîcheur du riz. Cet aliment me sert désormais de petit déjeuner quotidien.
La nature des sauces dans lesquelles j’ai plongé mes soba demeure un mystère. J’ai tout mélangé, y compris un petit sachet de ce qui ressemblait à s’y méprendre à de l’eau. J’ai assez souvent peur de manger les rince-doigts, ici.
Le banana bread avait une texture fort surprenante d’éponge et je ne m’attendais pas à trouver autant d’air dans un si petit gâteau, mais le goût n’était pas désagréable.
Petit stock de saké. De l'autre côté de la route trônait la même quantité de tonneaux de vin bourguignon.
Petit stock de saké.
De l’autre côté de la route trônait la même quantité de tonneaux de vin bourguignon.
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